En achevant l'inachevé
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En achevant l'inachevé
Si quelqu’un sait la rime, il peut bien l’achever…
Moi m’sieur. Il faut comme il suffit d’employer « jongles »
On ne connait pas meilleure rime pour « ongles ».
Tout poète accompli se doit de cultiver
l’art de la rime. Et jusques au chanteur des rues.
Ces dames du forum en sont les plus férues.
Voici donc achevé ce burlesque sonnet.
De vous à moi, c’était quand même assez fastoche.
— épithète qui rime avec « aristoloche » —
Et sans avoir recours au saut du sansonnet.
Du coup j’en suis folâtre autant qu’un garçonnet.
Certe on peut y trouver quelque chose qui cloche.
Un « s » licencié ? Basta, c’est dans la poche.
Pour fêter ça, je vais m’offrir un Dubonnet !
Le premier vers est le dernier de "Sonnet inachevé" de Saint-Amant
Moi m’sieur. Il faut comme il suffit d’employer « jongles »
On ne connait pas meilleure rime pour « ongles ».
Tout poète accompli se doit de cultiver
l’art de la rime. Et jusques au chanteur des rues.
Ces dames du forum en sont les plus férues.
Voici donc achevé ce burlesque sonnet.
De vous à moi, c’était quand même assez fastoche.
— épithète qui rime avec « aristoloche » —
Et sans avoir recours au saut du sansonnet.
Du coup j’en suis folâtre autant qu’un garçonnet.
Certe on peut y trouver quelque chose qui cloche.
Un « s » licencié ? Basta, c’est dans la poche.
Pour fêter ça, je vais m’offrir un Dubonnet !
Le premier vers est le dernier de "Sonnet inachevé" de Saint-Amant
Invité- Invité
Quelle horreur !
- Pour fêter ça, je vais m’offrir un Dubonnet,
L’apéro, c’est sacré… Ne pas rater le coche,
Se plait à dire ainsi ma voisine de gauche :
- Un jour sans apéro, c’est du ski sans bonnet !
Pas gâtée, elle est la meuf d’un vieux baronnet,
Un gros Anglais, gras, aigri, trop, vraiment, trop moche,
Fortuné, donc elle attend que la mort l’amoche,
Se soulant, le trompant avec un patronnet.
Samedi soir, elle va telles mille grues
Exposer à son marmiton mille verrues,
Dans un sordide catch, les voilà s’élever ;
Deux bibendums dans la plus lubrique des jongles,
Ça se masse la chair, se perce les furoncles,
De là, même un Bukowski voudrait s’atchaver.
L’apéro, c’est sacré… Ne pas rater le coche,
Se plait à dire ainsi ma voisine de gauche :
- Un jour sans apéro, c’est du ski sans bonnet !
Pas gâtée, elle est la meuf d’un vieux baronnet,
Un gros Anglais, gras, aigri, trop, vraiment, trop moche,
Fortuné, donc elle attend que la mort l’amoche,
Se soulant, le trompant avec un patronnet.
Samedi soir, elle va telles mille grues
Exposer à son marmiton mille verrues,
Dans un sordide catch, les voilà s’élever ;
Deux bibendums dans la plus lubrique des jongles,
Ça se masse la chair, se perce les furoncles,
De là, même un Bukowski voudrait s’atchaver.
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