Mardi

par Lau. Sam 25 Nov 2023 - 14:13

Mardi

Mardi, c’était la guerre, elle envoyait des skuds,
De formidables bombes où tombait sa gorge
Et résonnait en trombe, on eût dit une forge
A souder des sons lourds tels des inédits lieds,

Sa cuisse chantait, lors, d’imaginaires fjords
Et c’était paradis, l’on y touchait la neige,
C’était frais, blanc, c’était comme un tour de manège
Où chaque pompon touchait le meilleur des fards.

On s’y promènerait comme on touche l’enfer,
On s’accommoderait du magnétisme au fer
Comme l’impensable au sensible,

Mais cela ne consiste à qu’enfin se brûler
Aux soleils d’une autre qui ne fait que héler :
- Je suis la cible de ta fable.

par Salus Sam 25 Nov 2023 - 21:28

C'est épatant de décalage
Et partant, j'irai jusqu'à, lige,
Sans galéger faire l'éloge
De ce sonnet (mais rien ne l'urge)

par Invité Dim 26 Nov 2023 - 7:49

Dès lors, chaque mardi tu n'as qu'
à te la jouer Titanic,
ainsi que le ferait un schnock
en honorant sa gérénuk.

par Lau. Dim 26 Nov 2023 - 9:50

Salus,

Plaisir ce com ; c’est prendre en luge
Une poudreuse où tout s’allège :
Le temps et le poids de l’horloge,
Rien ne contraint, plus rien n’oblige.

Pierre,

Mais quel répons face à la gnak ?
On y sent l’air frais de Pornic
Début décembre et ce cinoc
Séduirait le plus pur Inuk.

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